Année de dégustation : 2017
Ces sardines à l’huile d’olive Ferrigno sont vendues sous la marque Les Belles de Marseille. Je les ai achetées 3.70 euros, coût plaçant ces sardines dans le haut de gamme. L’illustration rappelle joliment Pagnol : pas de doute, nous sommes à Marseille.
L’usine est de fait située non loin de la ville de Marseille, à Port-Saint-Louis-Du-Rhône. Le poisson vient lui d’on-ne-sait-où : celui des sardines au Pastis était issu de l’Atlantique Centre-Est (borné au Nord par le Maroc et au Sud par l’Angola). Les sardines sont cuites au four pour plus de légèreté (moins de gras), ce qui se pratique couramment sur la côte méditerranéenne. Je n’ai pas trouvé plus d’informations sur le site sur la fabrication ou l’origine du poisson.
La DLC est au 31/12 et ne donne donc aucune indication sur la saison de pêche. Par comparaison des DLC avec le millésime 2013, nous pouvons déduire l’année de pêche : 2013.
Pour la petite histoire, la languette n’a pas fait son office et j’ai du y aller à l’ancienne…enfin pas au burin et au marteau, mais à la clé dites « universelle ». Cela arrive, mais vous l’avez compris, nous ne sommes pas sur une boite de grande qualité.
La mise en boite est manuelle mais très industrielle : espace vide et poissons en état moyen.
En bouche, les sardines sont assez fermes et peu grasses malgré les 4 années passées dans l’huile d’olive. Cette dernière est plutôt neutre, avec une très légère amertume. L’ensemble manque de goût pour mon palais. J’attendais bien mieux de sardines à ce prix là, vieillies 4 ans et si joliment illustrées.
Ma note 100% subjective : 2/5
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Pfiou, on a au moins échappé à la malédiction de la sardine noire ! Mais vu le reste, on en était à deux doigts 😉
Oui oui, on devient super exigeant à force de lire ce site 🙂
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Un autre truc qui me choque : c’est écrit quasi qu’en anglais sur la boîte. Ça fait bizarre
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Je me disais que la cible était touristique, voire des ventes à l’export.
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